De classe inconnue avec saisie de texte, voici la réorganisation du contenu qui n’est théoriquement rien d’autre que la copie :
Donald Trump a accusé Barack Obama de complot, prétendant que ce dernier avait cherché à saboter sa présidence en établissant un lien entre Trump et une suppée ingérence russe dans l’élection.
“Ils ont essayé de voler l’élection”, a dit Trump à la Maison Blanche, affirmant qu’Obama avait cherché à miner sa victoire sur Hillary Clinton en 2016.
Un porte-parole d’Obama a répondu par un rare communiqué, qualifiant l’attaque de Trump de “faible tentative de diversion”.
Trump faisait référence à un rapport du Directeur du Renseignement National Américain, Tulsi Gabbard, émis la semaine précédente, qui accusait Obama et son équipe de sécurité nationale d’avoir orchestré un coup d’état de plusieurs années contre président Trump – des conclusions que les démocrates ont qualifiées de fausses.
Les commentaires de Trump mardi sont survenus alors qu’il faisait face à des questions des journalistes concernant Jeffrey Epstein, pédophile condamné et suicidé en prison en 2019 alors qu’il attendait son procès.
L’administration présidentielle est sous pression pour divulguer plus d’informations concernant le puissant pédophile bien connecté.
“La chasse aux sorcières à propos de laquelle vous devriez parler a attrapé Obama absolument à froid”, a dit Trump aux journalistes.
“Il est temps de poursuivre ces gens, Obama est pris en flagrant délit”, a-t-il ajouté.
“Il est coupable. Cela a été une trahison. Cela a été chaque mot que vous pouvez imaginer”, a déclaré Trump.
Ses commentaires sont intervenus alors qu’il recevait le président des Philippines Ferdinand Marcos Jr dans le bureau ovale.
Le porte-parole d’Obama Patrick Rodenbush a déclaré : “Par respect pour le bureau de la présidence, notre bureau ne répond normalement pas aux mensonges constants et fausses informations provenant de cette Maison Blanche.
Ces allégations sont assez incroyables pour mériter cela. Ces étranges allégations sont ridicules et une faible tentative de diversion.”
Le rapport du vendredi de l’Office du Directeur du Renseignement National a dévoilé des courriels entre les risques d’Obama, et prétend qu’ils ont réprimé des découvertes de renseignement sur le fait que la Russie n’avait pas réussi à pirater les bases de données des élections américaines.
Une copie déclassifiée du compte rendu quotidien du président préparé par les chefs des services de sécurité américains pour Obama quelques semaines après la victoire de Trump sur Clinton et datée du 8 décembre 2016 déclarait : “Nous estimons que les acteurs russes et criminels n’ont pas affecté les récents résultats des élections américaines en menaçant les infrastructures électorales malveillantes.”
Mais le FBI s’est dissous des résultats qu’il avait initialement co signés, et a eu une réunion le lendemain à la Maison Blanche avec les principaux responsables, selon le rapport.
Ensuite, un assistant du directeur déclassifié du Renseignement National James Clapper a envoyé un courriel à les principaux responsables du renseignement demandant de créer une nouvelle évaluation “sur la demande du président” détaillant les “outils que Moscou a utilisés et les actions qu’elle a entreprises pour influencer l’élection de 2016”.
Gabbard a soutenu que les courriels montraient des preuves d’un “complot de trahison” contre Trump, et a menacé de renvoyer les responsables de l’administration Obama au département de la Justice pour poursuite.
Mais le porte-parole d’Obama a déclaré dans son communiqué de mardi : “Rien dans le document émis la semaine dernière ne remet en question la conclusion largement acceptée selon laquelle la Russie a cherché à influencer l’élection présidentielle de 2016 mais n’a pas pu manipuler correctement les votes.”
La communauté du renseignement américaine a publié en janvier 2017 une évaluation concluant que la Russie avait cherché à endommager la campagne de Clinton et à soutenir Trump trois mois plus tôt.
Les officiels américains ont découvert que cet effort avait inclus des fermes de bots russes sur les réseaux sociaux et le hacking de courriels démocrates, mais ils ont conclu que cet impact était probablement limité et n’avait pas en réalité modifié le résultat de l’élection.
Un rapport bipartisan de 2020 du comité du renseignement du Sénat a également conclu que la Russie avait cherché à aider la campagne de Trump en 2016.
Marco Rubio, secrétaire d’État qui était sénateur à l’époque, était parmi les Républicains qui ont co-signé ce rapport.
Les deux premières années de la première présidence de Trump ont été overshadowed par une enquête de son propre département de la Justice concernant une éventuelle collusion avec la Russie pour influencer le résultat de 2016.
Le rapport Muller résultant a révélé un manque de preuves que Trump ou sa campagne s’était coordonné avec le Kremlin, et personne n’a jamais été inculpé de tels crimes.
Une enquête ultérieure du procureur spécial, le rapport Durham, a constaté que l’enquête originale du FBI avait manqué de “rigueur analytique” et s’était appuyée sur des “renseignements bruts, non analysés et non corroborés”.
